Formats : Broché/Poche/Ebook
Genre(s) : Fantastique/Young Adult/Thriller
Types de lecteurs : Dès 13 ans
Thèmes : Mort/Famille/Drogue/Alcool/Harcèlement/Anorexie
/5
Mon Avis :
/5
Un livre que j’avais hâte de lire mais qui m’a au final un peu déçu.
Liz est une jeune lycéenne qui a tout pour elle, la beauté, l’argent, une famille recomposée où tout le monde s’aime et s’accepte, un petit ami beau et intelligent et des amis qui l’aiment. Le jour de ses 18 ans elle organise une soirée sur le bateau de son père et se réveille en pleine nuit pour se retrouver face à son corps flottant dans le port. Elle rencontre alors Alex, mort également, il y a 1 an, renversé par une voiture alors qu’il rentrait du travail.
Liz n’a pratiquement plus de souvenirs de sa vie et va chercher à découvrir pourquoi elle est toujours « là ». Alex va l’aider et va lui servir en quelque sorte de guide. Liz va petit à petit reconstituer le puzzle de sa vie et commencer à se demander si sa mort n’est finalement pas un meurtre.
Je n'aime pas trop faire de critiques négatives, mais avec ce livre, je ne peux pas faire autrement, mais cet avis est le mien et n'engage que moi.
Je n'aime pas trop faire de critiques négatives, mais avec ce livre, je ne peux pas faire autrement, mais cet avis est le mien et n'engage que moi.
J’étais réellement emballée par le résumé du livre et je dois dire que j’avais hâte de le lire, mais je n’ai pas réussi à m’attacher à Liz, ni à Alex contrairement à d’autres lecteurs. Les deux seuls personnages pour qui j’ai eu un réel attachement ont été Caroline et Richie.
Nous découvrons l’ancienne Liz comme étant une fille totalement antipathique, centrée sur la beauté extérieure et qui traite tout le monde comme des moins que rien. Je me demande même comment ses amis ont pu rester à ses côtés. Elle est l’image même du cliché américain : vêtement de marque, maquillée à outrance, un dressing de la taille de sa chambre et une enfant pourrie gâtée. Heureusement pour nous elle n’est pas Pompom girl ! Même si sous sa forme astrale elle a perdu en très grande partie ce côté cliché, je n’ai pas réussi à accrocher avec ce personnage. Nous découvrons toutefois, au fur et à mesure de ses souvenirs, pourquoi elle est devenue comme cela, mais j'ai tout de même continué à ne pas l'apprécier. Alex, lui, est l’autre cliché : le jeune homme dont la famille a peu de moyens et qui doit travailler en dehors de ses heures de lycée, pas d’amis, pas de copine et il se fait harceler à l’école.
Autre point négatif : trop de répétitions !!!! Pendant les 5 premiers chapitres, Liz rabâche « je dois rêver, ce n’est pas réel ». Et OMG, elle a mal aux pieds et ne peut pas se séparer de ses chaussures roses à paillettes, l'auteure nous le rappelle à chaque chapitre. Je me suis donc dit que ça devait être quelque chose d’important pour le livre, du genre : la clef de l’histoire, mais non pas du tout, elle a simplement mal aux pieds et c'est tout. Il y a également beaucoup de longueurs et je pense, des passages inutiles.
Le livre traite de sujets importants, la mort, les familles recomposées, la beauté au sein de la société, l’anorexie, l’adultère, l’alcool, la drogue, le harcèlement scolaire. Sur ce point ce livre est génial.
J’ai trouvé dès les premières pages qui été responsable de la mort de Liz. Le seul point surprise pour moi a été la révélation du chauffeur qui a tué Alex. Je pensais que le meurtrier de Liz et celui d'Alex étaient une seule et même personne mais je me suis trompée.
En bref : Un livre avec beaucoup de longueurs et de répétitions, pas beaucoup d’action pour un thriller (voir pas du tout), des clichés en veux-tu en voilà et des personnages peu attachants. Mais des sujets poignants. Un livre qu’honnêtement j’ai continué à lire essentiellement pour vérifier ma théorie, et je dois l’avouer, parce qu’il me faisait vraiment envie au départ.
Nous découvrons l’ancienne Liz comme étant une fille totalement antipathique, centrée sur la beauté extérieure et qui traite tout le monde comme des moins que rien. Je me demande même comment ses amis ont pu rester à ses côtés. Elle est l’image même du cliché américain : vêtement de marque, maquillée à outrance, un dressing de la taille de sa chambre et une enfant pourrie gâtée. Heureusement pour nous elle n’est pas Pompom girl ! Même si sous sa forme astrale elle a perdu en très grande partie ce côté cliché, je n’ai pas réussi à accrocher avec ce personnage. Nous découvrons toutefois, au fur et à mesure de ses souvenirs, pourquoi elle est devenue comme cela, mais j'ai tout de même continué à ne pas l'apprécier. Alex, lui, est l’autre cliché : le jeune homme dont la famille a peu de moyens et qui doit travailler en dehors de ses heures de lycée, pas d’amis, pas de copine et il se fait harceler à l’école.
Autre point négatif : trop de répétitions !!!! Pendant les 5 premiers chapitres, Liz rabâche « je dois rêver, ce n’est pas réel ». Et OMG, elle a mal aux pieds et ne peut pas se séparer de ses chaussures roses à paillettes, l'auteure nous le rappelle à chaque chapitre. Je me suis donc dit que ça devait être quelque chose d’important pour le livre, du genre : la clef de l’histoire, mais non pas du tout, elle a simplement mal aux pieds et c'est tout. Il y a également beaucoup de longueurs et je pense, des passages inutiles.
Le livre traite de sujets importants, la mort, les familles recomposées, la beauté au sein de la société, l’anorexie, l’adultère, l’alcool, la drogue, le harcèlement scolaire. Sur ce point ce livre est génial.
J’ai trouvé dès les premières pages qui été responsable de la mort de Liz. Le seul point surprise pour moi a été la révélation du chauffeur qui a tué Alex. Je pensais que le meurtrier de Liz et celui d'Alex étaient une seule et même personne mais je me suis trompée.
En bref : Un livre avec beaucoup de longueurs et de répétitions, pas beaucoup d’action pour un thriller (voir pas du tout), des clichés en veux-tu en voilà et des personnages peu attachants. Mais des sujets poignants. Un livre qu’honnêtement j’ai continué à lire essentiellement pour vérifier ma théorie, et je dois l’avouer, parce qu’il me faisait vraiment envie au départ.
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